Le journaliste algérien Khaled Drareni a été libéré après des mois de prison par le président Tebboune.Il a été emprisonné pour « incitation à un attroupement non armé et atteinte à l’intégrité du territoire national » alors qu’il faisait seulement son métier de journaliste. Cette affaire a entraîné de nombreux débats en Algérie.
Liberté de la presse en Algérie:
La liberté de la presse est très limitée, on peut le confirmer par de nombreux emprisonnement de journalistes, par exemple suite à la révolution de 2019 42 journalistes ont été emprisonnés parce qu’ils ont participé en ligne et hors ligne aux manifestations du Hirak. Une révolution a eu lieu pour obtenir la liberté de la presse.
La liberté de la presse et d’ expression se dégradent en Algérie
« Il n’est pas normal que des journalistes soient en prison. Il y a eu une Révolution le ‘Hirak’ pour un Etat de droit et des libertés, dont la liberté d’expression, mais le système politique poursuit des journalistes qui ont une ligne éditoriale qui déplaît », déplore l’avocat Mustapha Bouchachi.
La situation en Algérie est très limitée, des informations ne peuvent pas être divulguées par les journalistes sous peine d’emprisonnement, des manifestations ont étaient organisées par les citoyens pour obtenir plus de liberté mais rien à évoluer malgré ça.
Les Algériens espèrent une liberté de la presse moins stricte de la part de l’Etat, des journalistes ont été emprisonnés sur leurs lieux de travail pour des raison totalement inventées par l’état.